Page:Péguy - Les Mystères de Jeanne d’Arc, volume 2.djvu/172

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le porche

Un point douloureux demeure, un point de pensée, un point d'inquiétude. Un bourgeon d'espérance.

Une lueur ne s'éteindra point et c'est

la Parabole troisième,

la tierce parabole de l'espérance. Un homme avait deux fils.

��Il y avait une grande procession. En tête les trois

Similitudes s'avançaient. La foi, dit Dieu, ça n'est pas malin. Tout le monde croit. Je voudrais bien voir comment ils

feraient autrement. Oui je voudrais savoir comment ils feraient pour ne pas

croire. Comment ils s'y prendraient. J'éclate tellement dans ma création. Jusque dans les gouffres de la mer et dans les abîmes

salés. Dans les profondeurs des gouffres. Dans les éclairs et dans la foudre d'un ciel d'orage, Quand le ciel est lourdement chargé. Qui sont comme une déchirure du ciel. En zig-zag. Et dans le fracas du tonnerre qui est un déchirement

du ciel. Et dans le roulement d'un tonnerre lointain. Dans le roulement et le déroulement d'un tonnerre

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