— 56 —
23.
24.
25.
(Leibniz)
J’ajoute la
26.
.
Si chacune des lettres
et
a une signification déterminée, il peut arriver que «
» pour deux raisons différentes : il peut se faire que «
», ou bien que «
» (ce qui implique que «
» [
6] et par suite que «
» [
26]) ; donc [67] :
27.
28.
De ce qui précède, il résulte que la négation d’une condition par rapport à
[52] est aussi une condition par rapport à
. En effet, si à la condition donnée on donne la forme explicite «
» [60], alors «
» [
6] ; et par suite [
22 et 28] les formules
«
» «
» «
»
ont toutes la même signification ; et la troisième est bien une condition explicite par rapport à
[60].
71. L’équivalence entre les deux dernières formules confirme,
encore une fois, la distinction faite entre les appartenances et les inclusions [33, 34] ; car, si «
», les formules
«
» «
»
ont des significations différentes. En effet, tandis que la seconde dit [31 et
24] que « tout
est un (non
), savoir que aucun
n’est un
, la première [69] dit seulement que quelque
n’est pas un
, ce qui peut bien arriver même si quelque
est un
.
Ainsi, par ex., Suisse
Genevois
mais non Suisse
Genevois)
72. Dans le langage courant, lorsqu’il arrive souvent de considérer la
contraire d’une
donnee [70], on lui donne un nom exprès qu’on tire du premier moyennant des règles dont s’occupent les philologues ; mais ce n’est presque jamais la vraie
contraire.
Par exemple, il n’est pas exact que :
invertebré
vertébré