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Page:Pailleron - Amours et Haines, 1869.djvu/139

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octobre.

Mais ton nom est souvenir,
C’est pourquoi je t’aime.

Ah ! cher tyran, quel qu’il soit,
Le nom qui te nomme,
Déjà l’on souffre pour toi…
Tu seras un homme.
Qu’importe, ô mon doux vainqueur ?
Va, fais ton office…
La gourmandise du cœur,
C’est le sacrifice !