Page:Pailleron - Amours et Haines, 1889.djvu/200

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LA CHANSON DE LA NOURRICE



En me promenant ce matin,
(J’aime la rose et le jasmin,
La rose éclose,)
J’ai rencontré, chemin faisant
Un bel ange du ciel volant.
(J’aime la rose.)

Sa robe était de blanc satin,

(J’aime la rose et le jasmin,