Page:Paquin - Le paria, 1933.djvu/68

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Dans un grincement de roues, les wagons s’ébranlèrent.

Dominant le bruit, de toute la force de ses poumons, pour que chacun l’entende bien, il cria à ceux qu’il laissait derrière lui :

— Vous n’êtes qu’une bande de lâches.

Et se laissa emporter vers un destin inconnu et nouveau.