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Page:Paré - Lettres et opuscules, 1899.djvu/186

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lettres

rables, rentre le soir dans une maison vide, triste et silencieuse.

Quelquefois, les dimanches, il prend le bateau pour aller voir sa famille, il arrive fatigué, brûlé par la fumée, et on lui annonce qu’on a organisé une petite sauterie pour le soir, ce qui l’oblige à ne se coucher qu’à deux heures du matin.

Pauvre homme, c’est toi, qui, l’année prochaine, parlera le premier d’aller en villégiature.