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PAR MONTS ET PAR VAUX
(L’Abeille, 23 oct. 1879.)
n
léger croquis d’un type connu, le
flâneur, semble nécessaire avant de
lâcher la bride à notre plume et de galoper
au milieu du sujet.
Voyez cet homme. Il sort de chez lui, consulte sa montre et part
rapidement. Il n’a que
le temps de se rendre à son affaire, on lit dans
ses yeux l’honnête désir d’être exact. Bientôt
cependant ses regards se laissent séduire par
les brillants étalages des boutiques ou les diverses scènes des rues. La marche
se ralentit. Rencontre-t-il
alors quelques musiciens
ambulants, bien que
chez lui le son d’un