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LES TROIS LECTURES
I
— « En bien ! quand nous liras-tu donc ta pièce ? disait, au foyer de l’Odéon, Gabriel Dercy au jeune Amaury Prévannes.
— « Mais quand vous voudrez, mes amis, ou plutôt quand mon poêle sera posé ; car vous pourriez courir le risque d’être doublement gelés, dans mon temple aérien.
— « Voilà bien le vrai poète, s’écria Stanislas, le