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Page:Paris - Légendes du Moyen-Âge.djvu/123

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par là, je l’ai dit, à ces narrations qui devaient faire sa gloire ; celles-là n’ont plus rien de fantastique, et il y a porté à sa perfection le don d’observation fidèle et minutieuse qu’il manifestait déjà dans l’agréable récit de sa visite à la montagne sibylline.