Page:Parmentier - Examen chymique des pommes de terre, 1773.djvu/15

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
v
AVERTISSEMENT.

qu’un Membre de cette même Compagnie, conſulté enſuite, je ne ſai par quel motif, n’ait pas reſpecté un pareil jugement : il eſt bien plus étonnant encore, que pour avoir cenſuré mon Mémoire ſur les végétaux nourriſſans, dans le Journal d’Agriculture, il l’ait confondu avec celui des Pommes de terre, en aſſurant que cet ouvrage étoit dans les Journaux, & que d’ailleurs il ne valoit pas la peine de l’impreſſion. Je l’aurois peut-être cru ſi des Savans, dont il doit reſpecter comme moi les connoiſſances profondes, euſſent été de ſon ſentiment ; mais comme il s’en faut de beaucoup, il me permettra de penſer qu’il s’eſt trompé ; & qu’en me fruſtrant de l’indemnité que j’avois lieu d’attendre d’un travail toujours couteux pour le particulier qui

a iij