Page:Parnasse de la Jeune Belgique, 1887.djvu/246

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Voici l’heure venue où se penchent les cœurs
Vers les fuyants échos des vibrances dernières,
Et, de la mort des sons dans la mort des lumières,
Se sentent défaillir en d’immenses rancœurs.

Bientôt s’élèveront les silences funèbres,
Et nous saurons alors, mais alors seulement,
Quel mal c’est que l’oubli d’un ancien tourment,
Et nous voudrons en vain mourir dans nos ténèbres.