Page:Parnasse de la Jeune Belgique, 1887.djvu/260

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Soudain il s’est raidi sur son arbre de honte
Avec de longs sanglots et des yeux révulsés,
Et maintenant le corps s’affaisse, et l’âme monte
Rejoindre dans l’Éther les rêves trépassés.

Et désormais la nuit pèsera sur la terre
De jour en jour plus dense aux hommes plus méchants,
Et cette pourpre éteinte en un ciel de mystère,
C’est le dernier reflet du dernier des couchants.