Page:Parny - Chansons madécasses.djvu/54

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Trop heureuse pour raisonner,
Elle est bien loin de soupçonner
Qu’un jour il peut être infidèle.

    Justine avoit reçu la fleur.
On exige alors de sa bouche
Cet aveu qui flatte et qui touche
Alors même qu’il est menteur.
Elle répond par sa rougeur ;
Puis avec un souris céleste,
Aux baisers de l’heureux Valsin
Justine abandonne sa main,
Et la main promet tout le reste.

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