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mances sentimentales et prétentieuses qui, il y a vingt ans, étaient populaires dans les villes.

Il est urgent de faire dans toutes les provinces une investigation qui, à l’heure actuelle, est encore possible ; mais il faut se hâter, car bientôt il serait trop tard.

Je ne veux pas terminer cette introduction sans remercier les personnes qui ont bien voulu m’aider, et parmi elles M. Gaidoz, le savant directeur de la Revue celtique, qui a mis gracieusement à ma disposition les livres, parfois rarissimes, de sa Bibliothèque bretonne, et M. Prosper Guyot, qui a noté les airs de plusieurs de mes chansons.

Saint-Cast (Côtes-du-Nord), 15 octobre 1880.