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Page:Paul Vibert - Mon berceau, 1893.djvu/290

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mon berceau

lège de n’avoir pas encore eu le temps de tout apprendre.

Je ne veux pas suivre ici l’auteur depuis les origines de Paris, depuis l’occupation romaine, jusqu’à nos jours, ni rappeler même les intéressants renseignements qu’il donne sur les huit enceintes successives, sur les premiers égouts, les premières lanternes, le premier pavage, etc., etc., cela m’entraînerait beaucoup trop loin et je ne peux citer ici que ce qui a trait plus ou moins directement à notre premier arrondissement.

Voici la liste, bien incomplète sans doute — et ce n’est pas un reproche, car au lieu de 100 pages il lui aurait fallu 10 volumes pour écrire une histoire entière de Paris — que donne Gustave Pessard des maisons curieuses du premier arrondissement :

« L’ancienne chancellerie d’Orléans, 20, rue de Valois (ancien hôtel du cardinal Dubois).

« Les bâtiments circulaires de la place des Victoires, construits par Mansard.

« Maison de l’Arbre-aux-Prêcheurs, poutres sculptées en saillies du xiiie siècle (au coin de la rue des Prêcheurs et de la rue Saint-Denis).

« Vieille hôtellerie de Heaume, connue au xive siècle (près le numéro 102 de la rue Rambu-