faitement la pensée de M. Gaud que j’ai l’honneur de connaître personnellement, et qui n’est pas homme à changer d’opinion ainsi du jour au lendemain.
Enfin, la discussion est ouverte, nous recherchons avant tout la vérité, ici, et je serai heureux d’accueillir les nouvelles observations ou les nouveaux arguments en faveur de la création immédiate de cette Bourse de l’Exportation dans la Bourse de Commerce actuelle ; projet qui, pour ma part, me tient fort au cœur, car j’y vois, à n’en pas douter, un nouveau et puissant instrument du développement commercial, non pas du premier arrondissement seulement, mais de Paris, de la France et de nos colonies.
Je reçois une seconde communication de mon aimable correspondant de la Chambre syndicale des Représentants de Fabriques et de Commerce, que je m’empresse de mettre sous les yeux de mes lecteurs :
« Ne croyez pas, cher Monsieur, que mon silence soit le résultat de votre réponse, si vive