n’est qu’un rêve et notre Bourse de commerce actuelle, en plein premier arrondissement, c’est la réalité.
Il ne tient qu’à tous qu’elle soit féconde et rémunératrice pour le commerce et l’industrie de la France.
Dans les discussions amicales que j’entends ou auxquelles je prends part dans l’arrondissement, il me semble deviner que l’idée suivante se fait jour de plus en plus dans les esprits, à savoir qu’en dehors des grands services que rendra la Bourse de l’Exportation au commerce général de la France — ce que personne ne met en doute — elle ne profitera qu’aux alentours immédiats de la Bourse de Commerce, où nous voulons la voir installée.
Il y a là une idée des plus fausses et qui témoigne combien nous en sommes encore restés, en matière de négoce, aux préjugés et aux procédés surannés du moyen-âge.
Je me suis élevé avec beaucoup de vivacité contre la crainte de voir le voisin traiter plus