22 mai 1831 et dédiée précisément à M. Sébastiani.
Et puis, ce qui a achevé de tuer le passage Véro-Dodat, c’est la percée de la rue du Louvre, avant, il y avait un passage libre, à ciel ouvert, à travers les Messageries générales, qui était la continuation naturelle du passage V. D. et qui, par conséquent, activait la circulation.
On a eu la faiblesse de permettre au propriétaire, M. de Pommereu, de le supprimer, en revendant tous ses terrains en bordure sur la rue du Louvre. Ça été une lourde et irréparable faute de la part de l’administration.
Depuis longtemps la propriété des charcutiers-constructeurs a été transformée en société et les titres sont restés, il est vrai, dans les deux familles.
Il y a eu un prêt du Crédit foncier, après un long procès entre les héritiers, car les Véro sont beaucoup moins riches que les Dodat.
Aussi l’on peut dire que les parts, au nombre de 120, ne valent plus guère que 10 000 fr. pièce ; sur ces 120, un particulier en possède quelques-unes, la famille Dodat 84 et les Véro le reste.
La maison de charcuterie et comestibles de la rue de Montesquieu, transportée ensuite rue de