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Je vous en prie, mes chères lectrices, blondes

D. I. T.

ne vous montrez pas trop sévères pour cette modeste, mais si véridique et parfois si touchante chroniquette

M. E.

de mon cœur.

Me voici arrivé au bout de ma tâche, et j’espère bien qu’après avoir lu les nouvelles près

C. T.

vous ne trouverez pas que je vous ai trop

K. O. T.

Et je n’ai plus qu’à prier très humblement mes braves typos de ne rien

F. A. C.

et je signe :

P. V.

P.S. — À la semaine prochaine pour

L. U. Q ! E.

Si je ne suis pas

D. C. D.