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Page:Pauphilet - Contes du jongleur, 1932.djvu/26

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CONTES DU JONGLEUR

est mal garnie. Je vais vous dire, à votre volonté, fabliaux plaisants, lais d’amour, nobles histoires ; et si elles vous agréent, vous me ferez de beaux dons, par courtoisie. Mais le don suprême, celui qui fait oublier tous les maux, qui me l’accordera ? Je le demande à Celle à qui je dédie ces chants :

À la plus belle, à la plus blonde, à la plus franche !