Page:Pavlovsky - En cellule, paru dans Le Temps, 12, 19 et 25 novembre 1879.djvu/65

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j’avais faim. Alors j’avais quelquefois recours à mes cartes pour savoir d’avance ce qu’il y aurait à dîner. Mais la faim devenait de plus en plus forte, par moment je cessais d’en avoir conscience et ne sentais plus qu’une sorte d’inquiétude physique qui m’obligeait à courir dans ma cellule comme une bête fauve