chevalier Bloch, humilié, ruiné, fut bien content de retrouver sa vieille Filaments graisseux, ruinée par sa faute, appauvrie, mais capable cependant d’assurer encore avec dévouement son entretien.
Faut-il évoquer, enfin, le drame tragique qui termina toute cette affaire : le suicide moral du chevalier Bloch, qui détruisit méchamment sa pauvre vieille usine qu’il n’aimait pas et dont les bienfaits lui étaient à charge pour venir s’engager comme simple ouvrier chez la Fatty qu’il aimait ; l’assassinat industriel, enfin, du prince Weill, dont l’usine entière se trouva détruite un jour par un innommable sabotage dû à la jalousie. Ce sont là des événements dont les multiples contradictions amoureuses tentèrent les romanciers feuilletonistes de l’époque et que je me bornai à enregistrer.