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LES MONTAGNES.
Le lendemain les voyageurs se mirent en route. Ils suivirent le chemin des montagnes jusqu’à l’endroit où il se divisait en plusieurs branches, et prirent celui que le vicaire leur indiqua, comme n’ayant pas été parcouru. Une pente rapide de plusieurs milles, les conduisit au plus haut des monts, où l’on n’apercevait aucune trace de végétation, où le bruit de leurs pas était le seul qui se fit entendre.
C’est un sujet digue d’examen, dit sir Fax, que le rapport qui se trouve entre les scènes que nous avons sous les yeux, et le génie de la liberté. Combien l’habitant
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