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du monde qui, dites-vous, consistent entièrement dans les progrès de l’esprit, progrès que vous croyez contre-balancer la détérioration physique de la race humaine.
— Quand je parle de l’esprit, je n’entends ni la poésie, ni les critiques périodiques, ni même les sciences physiques ; mais je place mes espérances sur la même base que sir Mystic, ses craintes, la tendance, générale du triomphe de la vérité morale et politique.
— La poésie a perdu ses beaux jours ^ dit sir Forester, Homère, Shakespeare et Milton ne peuvent revivre.
— Nous pouvons encore espérer un Lucrèce.
— Non, tant que la superstition et les préjugés n’auront pas perdu une grande partie de leur pouvoir. Si Lucrèce s’élevait parmi nous à présent, l’exil ou l’empri-