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Page:Peguy oeuvres completes 08.djvu/108

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OEUVRES POSTHUMES n'étant que le dernier vers du couplet précédent répété, ce qui accroît encore cet effet d'un pas antécédent à chaque retour d'une danse. Mais je préfère vous dire tout de suite, dit l'histoire, que ça donne :

��ROMANCE

AIR : Malhroug s'en va-t-en guerre.

PREMIER COUPLET

Mon coursier hors d'haleine, (Que mon cœur, mon cœur a de peine I) J'errais de plaine en plaine, Au gré du destrier.

DEUXIÈME COUPLET

Au gré du destrier, Sans varlet, n'écuyer ; Là, près d'une fontaine, (Que mon cœur, mon cœur a de peine!) Songeant à ma marraine, Sentais mes pleurs couler.

TROISIÈME COUPLET

Sentais mes pleurs couler, Prêt à me désoler.

Et ainsi de suite. Le deuxième vers, l'ancien deuxième 98

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