Page:Peguy oeuvres completes 08.djvu/197

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C L I ht dans sa sombre plaine, ô douleur, f entends rire Le noir lion de Waterloo !

Et quel art, dit-elle, pour brusquement remonter du Molière au Hugo, de Y Amphitryon aux Châtiments, du comique à l'élégiaque et au lyrique et à l'épique et au politique et à l'élégiaque lyrique et pour finir sur cette remontée. — Je ne vois plus d'autre fiche, dit-elle après un temps. J'en ai peut-être oublié. Rien n'est difficile comme de faire des recherches dans les Châtiments et généralement dans tout Hugo. On ferait peut-être mieux de les lire. Rien n'est difficile comme de prendre des fiches sur les Châtiments et généralement sur tout Hugo. On aurait peut-être plus tôt fait de les lire. On est éberlué par ce pullulement prodigieux de noms propres. Mettons qu'on a les yeux chavirés par ce cré- pitement de grandes capitales. C'est peut-être dans les Châtiments qu'il y en a le plus. A moins que ce ne soit peut-être dans certains morceaux de la Légende des Siècles. Il en faudrait, un Dictionnaire des noms pro- pres dans Victor Hugo. Mais ça ne serait pas un petit travail.

Deux fiches en tout c'est bien maigre, dit-elle, même pour une thèse complémentaire. Nous obtiendrons un résultat beaucoup plus sérieux si au lieu de nous limi- ter aux passages où il m'introduit nommément, sous mon nom propre de Glio, nous étendons nos recherches, (et nos enregistrements), à tous les passages où il m'introduit sous mon nom le plus commun, qui est

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