Page:Pellerin - Le Bouquet inutile, 1923.djvu/25

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La note de la fin monte, s’assied, s’impose.
Le buffet se prépare aux assauts de la pause.
« Après, le concerto ?… — Mais oui, deux clavecins. »

Des applaudissements à la dame bien sage…
Et l’on n’entendra pas le bruit que font les seins
Clapotant dans la vasque immense du corsage.