d’avancer faite ne tiré plus ne tiré plus 125 mille hommes nous sommes rentré dans Paris et vous pouvé croire qu’il ni avait pas de plaisir de rentré avec les pièces de canon et avec les mitrailleuses mon père et ma mère et je puis vous dire que sait triste il faut le voir pour le croire si vous aviez entendu les cris des femmes fille enfant il se meté à genoux, il nous demandai pardon les chefs nous criait pas de pardon en broché toujours les cris que l’on entendait il nous empêchait de marché le san coulait comme de lau dans les ru on marchai sur les mort sur les blessé on fouyait dans toute les maison on les trouvait caché dans les cave il ni avait pas de pardon pour eux les femmes il criait mon dieu artieur je vous demande bien pardon. Les enfants les filles on n’écoutait rien autant de caché autant il était enfilé les maison qu’on n’a pas pu rentré on les a bombardé on lui metait le feu enfin je vous diré que les femmes homme enfant il marchait en avant les femmes il était armé d’un chassepot aussi bien que les homme enfin j’ai à vous dire que du soir à 4 heures du lendemain matin à 7 heures nous avons fait 80 mille homme prisonnier. Si vous les voyes quand on les accompagne les femme il suive leur mari il rentre à la prison je vous diré que quand on leur attache leur main par deux il nous dise en pleurant ne me sairé pas trop. Pas autre chose à vous dire pour le moment que nous espérons que d’ici à dimanche ce sera terminé. Je finis ma lettre en vous embrassant. »
Tout se trouve dans cette lettre : les légendes répandues avant l’entrée dans Paris ; les naïves exagérations du soldat : l’inconscience du massacreur… La plus lourde responsabilité ne pèse pas sur ces instruments passifs : elle pèse sur ceux qui voulurent et ordonnèrent ; elle pèse sur les états-majors cléricaux et bona-