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TABLE DES MATIÈRES.

Admonition intime de Marc-Aurèle ; personnes auxquelles elle peut être bonne et utile, II, 1, N.
Adrien et Auguste. Ce souvenir des deux empereurs fait croire que Marc-Aurèle s’adresse à lui-même la réflexion qu’il leur applique, VIII, 5, N. ; — (l’empereur) avait adopté Antonin le Pieux, VIII, 25, N. ; — cité comme personnage illustre par Marc-Aurèle, IV, 33.
Affliger (s’) c’est être déserteur, X, 25.
Agathon. Son conseil sur la conduite de l’homme de bien, IV, 18. — Poëte contemporain et ami de Socrate et de Platon, IV, 18, N.
Agitations étrangères à notre nature, qu’il faut laisser à ceux qui les excitent, VII, 58.
Agrippa, cité, VIII, 31.
Aimer également tout ce qui nous arrive ; optimisme aussi sage que pratique, V, 8, N. ; — (ce qu’il faut), VII, 57.
Alceste, dans Molière, s’indigne, connue Marc-Aurèle, des belles protestations des gens hypocrites, XI, 15, N.
Alciphron, cité par Marc-Aurèle X, 31.
Alexandre et Pompée, qui avaient si souvent détruit de fond en comble des villes entières et massacré des multitudes innombrables d’hommes dans les batailles, sont sortis de la vie à leur tour, III, 3 ; — César et Pompée, cités par Marc-Aurèle et opposés à Diogène, à Héraclite, à Socrate, VIII, 3 ; — admiré par Marc-Aurèle, IX, 29 ; — dont la vie a été si tragique, cité, IX, 29, N. ; — sa cour, X, 27.
Alexandre, le Platonicien, a montré à Marc-Aurèle à ne pas refuser de rendre les services qu’exigeaient ses relations d’amitié, I, 12 ; — le Platonicien, de Séleucie en Silicie ; sa vie écrite par Philostrate ; fut le secrétaire de Marc-Aurèle pour la correspondance grecque ; — son surnom, I, 12, N. ; — de Phrygie a été le précepteur de Marc-Aurèle pour le grec : il ne faut pas le confondre avec Alexandre le Platonicien, I, 10. N. ; — le grammairien ; fin détour qu’il employait pour faire passer ses critiques sans blesser les gens, I, 10.
Alexandrie (l’école d’) s’est perdue dans le Mysticisme, VII, 27, N. ; — (l’école d’) devait pousser jusqu’à l’extrême, en aboutissant à l’extase, la séparation de l’âme et de son enveloppe corporelle, VIII, 28, N.
Aliment (l’) de la science, métaphore de Marc-Aurèle lui-même, IV, 30, N.
Allusion de Marc-Aurèle à son âge avancé, II, 2 ; — (autre) à son âge avancé, II, 6 ; — que fait Marc-Aurèle à ses Mémoires, et aux Extraits d’auteurs qu’il avait mis à part pour l’usage de sa vieillesse, III, 14 ; — de Marc-Aurèle aux paroles de Télémaque dans l’Odyssée, IV, 33 ; — de Marc-Aurèle à un conte, IV, 16 ; — à la coutume d’embaumer ou de brûler les morts, IV, 48 ; — à l’épithète que les poëtes ont donnée au vieux Nestor, IV, 50 ; — à quelque histoire ou à quelque fable. V, 36.