Page:Pergaud - De Goupil à Margot, 1910.djvu/77

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dans lequel il ensevelit le corps de Renard, qu’il reboucha soigneusement.

Et il s’en retourna le dos ployé, les yeux vécues et pleins de terreurs vers sa maison, tandis que Miraut, qui n’avait pas les sujets de grave préoccupation de son maître, levait avant de le rejoindre une patte irrévérencieuse et philosophique contre le tertre gris de neige et de terre sous lequel Goupil dormait son dernier sommeil.