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tous les hommes
Se vantent de suivre mes lois ;
Mais que j’en connais peu dans le siècle où nous sommes,
Dont le cœur réponde à la voix !
Ceux que je fais aimer d’une flamme fidèle
Me font l’objet de tous leurs soins ;
Et quoique je vieillisse ils me trouvent fort belle
Et ne m’en estiment pas moins.
On m’accuse souvent d’aimer trop à paraître
Où l’on voit la prospérité,
Cependant il est vrai qu’on ne peut me connaître
Qu’au milieu de l’adversité.
J’ai vu le temps que je n’aurais