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Page:Perrault - Dialogue de l’amour et de l’amitié, 1665.djvu/67

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L’Amour

Adieu donc, ma sœur ; aussi bien ai-je encore plus d’affaires que vous, et qui pressent toutes étrangement. J’ai des amants à punir, j’en ai d’autres à récompenser, et avec tout cela il faut que je me rende auprès d’Iris qui va partir pour aller au bal où je dois lui conquérir le cœur de tout ce qu’il y aura d’honnêtes gens dans l’assemblée et leur faire avouer qu’elle est la plus belle et la plus aimable personne du monde.