Page:Perrault - Histoires ou contes du temps passé, avec des moralitez, 1697.djvu/185

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dans une chose où il y va de tout le bonheur de ma vie ; est-il raisonnable que les personnes qui ont de l’esprit, soient d’une pire condition que ceux qui n’en ont pas ; le pouvez-vous prétendre, vous qui en avez tant, & qui avez tant souhaité d’en avoir ? Mais venons au fait, s’il vous plaît : A la reserve de ma laideur, y a-t-il quelque chose en moy qui vous déplaise, estes-vous malcontente de ma naissance, de mon esprit, de mon