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CHAPITRE III


Mon accès de fièvre avait encore attendri Gertrude, qui, décidément, éprouvait un faible pour moi. J’en eus la preuve quelques jours après.

Comme je faisais la grimace devant mon inévitable soupe et que ma grand’mère, ayant fini la sienne, partait pour la messe, la bonne fille appela Prudence, Rapine, leur donna mon déjeuner et me fit une immense tartine de confitures.