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Page:Perrodil - À travers les cactus, 1896.djvu/39

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iii

kif ! kif ! la glace de paris


Devant rester quelque peu encore à Alger, on en profita pour continuer à battre en tous sens le pavé de la ville. Ce qui nous divertissait fort, c’était l’innombrable quantité de camelots arabes dont on était processionnellement assailli, toutes les fois que le hasard des circonstances ou l’altération de nos gorges respectives nous forçait à prendre place à la table d’un café.

À ce propos, on nous donna un avis salutaire, et dont pourront profiter mes lecteurs, si le sort les conduit sur la rive africaine. Les étrangers, fraîchement débarqués, sont