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Capucins (les) sont chassés de Reims, XLVII, 199.

Carados des Quennes, partisan du Dauphin, prend la ville de Roye en Vermandois, VII, 316. Est forcé de la rendre par capitulation ; est fait prisonnier par les Anglais, malgré le sauf-conduit qu’il tenoit de J. de Luxembourg, 317.

Caraffa (le frère Thomaso) publie à Rome 500 thèses sur la grandeur et la primauté du Pape, XLVIII, 150 et 185.

Caraffe (le card. Ch.), neveu du pape Paul IV, propose à Henri II la conquête du royaume de Naples, XX, 69. (Introd.) — Entre dans Sienne avec le seign. de Strozzi ; sa destinée, XXI, 206. (Comm. de Montluc.) XXIV, 185. — Ses perfidies envers M. le duc de Guise, XXVI, 317. (Mém. de Vieilleville.) XXX, 22 ; et XXXI, 426.

Carron (le capit.) marche sur les Espagnols à S.-Jean-de-Luz ; détails sur cette affaire, XX, 339. Est tué auprès de Lunel par un habitant de Montpellier, partisan du connét. de Bourbon, 360.

Carron (M. de) est tué au siége de S.-Jean-d’Angely, L, 512.

Carces (le sieur de), commandant les galères du Roi, prend 14 navires espagnols qui sont conduits à Antibes, XXIX, 25.

Cardonne, secrét. interpr. du Roi pour les langues étrangères, a traduit en français cinq extraits des manuscrits arabes joints aux Mémoires de Joinville, I, 8.

Cardonne (Raym.), vice-roi de Naples, commande en chef l’armée réunie de Naples et d’Espagne qui vient à la rencontre de Gaston de Foix, XVI, 14. S’enfuit pendant la bataille de Ravennes, 49.

Cardonne (don Raym. de), grand-maître de l’artillerie de l’Empereur, est tué avec 300 des siens au siége de Santia, XXIX, 514.

Carency (P. de Bourbon, comte de), est pris au combat d’Arras, XII, 115.

Carenlouet, compagnon d’armes de Duguesclin, fend d’un coup de hache le principal conseiller de Pierre-le-Cruel, V, 9. Surpris dans une embuscade par le grand-maître de S.-Jacques, engage le premier le combat, tue le grand-maître, mais est forcé de se retirer dans un bois, 13. Se distingue à la bataille de Montiel, 38 ; au siége de Bressières, 106.

Carillo (le capit.), espagnol, gouvern. de Boncouvent, est fait prisonnier par le capit. Serres, XXI, 376.

Carloix (Vinc.), secrét. du maréch. de Vieilleville, est l’auteur des Mémoires de ce seigneur ; il n’y travaille qu’après sa mort ; qualités qui distinguent son ouvrage ; est nommé secrétaire du Roi, XXVI, 18. Ses Mémoires ont été découverts au milieu du dix-huitième siècle par le père Griffet, 19. (Notice.) — Il est envoyé au Roi par Vieilleville pour lui faire part du projet d’assiéger Thionville ; comment il remplit sa mission, XXVII, 335. (Mém. de Vieilleville.)

Carmain (le vicomte de) est nommé un des conseillers du dauphin Louis, fils de Charles VII, XI, 160.

Carondelet (J.) est chargé par le comte de Charolais de visiter les titres à Paris, pour savoir si le Roi pouvoit distraire de la couronne les comtés de Brie et de Champagne, X, 248.

Carouges (le sieur de), gouvern. de Rouen, est chassé de cette ville, qui se range du parti de l’Union, XXXIX, 50.

Carraciole (le seign. Hector de), gentilh. napolitain, est tué au siége de Gênes, XIX, 187.

Carraval (le comte de), lieutenant du duc de Savoie, est battu et fait prisonnier par le sieur de Créqui, XLIII, 350.

Carrel, avocat au parlement, refuse de se faire partie contre deux de ses domestiques qui ont tué sa servante et voulu le voler, XLVIII, 62.

Carrel, fils d’un usurier, est constitué prisonnier chez la Reine Marguerite, XLVIII, 224.