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Coligny (Louise de), princesse d’Orange, ne veut pas se trouver avec la duchesse de Montpensier, qu’elle regarde comme la cause de la mort du feu Roi, XLVII, 83.

Coline, imprimeur célèbre, réimprime en petit format, et au nombre de 24,000 exemplaires, les Dialogues d’Érasme, XVII, 96.

Collignon, imprimeur du Roi et juré de la ville de Metz, publie en 1665 une seconde édition du Siége de Metz, par Salignac de Fénélon, et la fait précéder d’une épître aux échevins de la ville, XXXII, 245 et 247.

Colombières (de) lève des troupes, fortifie Saint-Lô pour le parti protestant, XXXV, 113. Est tué sur la brèche, 114 ; XLV, 94.

Colonels (les) de la ville de Paris refusent les récompenses pécuniaires qui leur sont offertes par le duc de Mayenne au nom du roi d’Espagne, XLVI, 354.

Colonne (le cardinal), légat du Pape, accompagne Pierre de Courtenai au siége de Durazzo, I, 463. Ouvre une négociation avec Théodore Lascaris, 464. Est arrêté par ce prince ; est réclamé inutilement par le Pape, 465. Rendu enfin à la liberté, va à Constantinople, 466. Fait valoir sous la régence les droits de l’Église, 469.

Colonne (Ascagne), est fait prisonnier dans un combat naval livré près de Naples, XVIII, 64.

Colonne (Fabrice de Case), seigneur romain, est blessé dans une embuscade à Pont-à-Mousson, XXVII, 51, et envoyé prisonnier à Toul, 52.

Colonne (Fabrice), gouverneur de Capoue, défend cette place avec courage, et se voit enfin réduit à capituler, XV, 46.

Colonne (Marc-Antoine) soutient vaillamment le siége de Ravennes contre l’armée française, XVI, 28. Se retire dans la citadelle de cette ville, 54. (Mém. de Bayard.) — Défend Vérone contre Lautrec, 365. (Mém. de Fleurange.) — Est blessé par un boulet de canon, et meurt peu de jours après, XVII, 368. (Mém. de Du Bellay.)

Colonne (Prosper), surpris par les seigneurs d’Imbercourt et de La Palice, est fait prisonnier et conduit en France, XIV, 494. (Panég. du Chev. sans repr.) — Est nommé chef de la ligue entre Léon X et Charles-Quint, XVII, 345. Assiége Parme, 347. Passe le Pô, 349 ; puis l’Adda, 352. S’approche de Milan, 353. Entre dans Alexandrie à la faveur des gibelins, 358. Licencie les Suisses à sa solde, 360. Fortifie le château de Milan, 366. Fait ses dispositions pour se mettre en état de défense contre l’armée française, 367. Marche sur Pavie pour empêcher les Français d’en faire le siége, 375. Part pour Gênes, 387. Se porte sur le Tesin pour empêcher l’armée française de le passer ; fait conduire le maréchal de Foix, avec toute son artillerie, jusqu’en deçà du Pas de Suse, 390. Se ligue contre la France avec les Vénitiens et toutes les puissances de l’Italie ; fortifie tous les passages du Tesin, 407. Se fait porter malade sur les bords de cette rivière, 426. Se retire à Milan, puis à Laudes ; abandonne tout le duché, excepté Milan, Crémone et Pavie, 427. Donne la conduite de la guerre au seigneur Alarçon, 439. Conclut avec le duc de Ferrare un traité pour rendre Modène, lequel traité est rompu par le vice-roi de Naples, 440. (Du Bellay.)

Comans (Jacqueline Le Voyer, dite de), accuse le duc d’Épernon et la marquise de Verneuil d’avoir fait assassiner Henri IV ; détails sur son procès, XLIX, 170 et suiv. Le jugement est remis à un autre temps, 181. Est condamnée à tenir prison perpétuelle entre quatre murailles, 218.

Comba et Vaubonnet, soldats de la garnison de Metz, forment le projet de livrer cette place au comte de Mesgue, XXVII, 282 et suiv. Ils sont tirés à quatre chevaux avec 15 de leurs complices, 301.