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Louis IX à Césarée ; notions qu’il donne sur le pays de Norone, II, 339.

Éléonore, sœur de l’empereur Charles-Quint, montre son aversion pour le connétable de Bourbon qu’on veut lui faire épouser, XVII, 83. Est destinée ensuite à François I, 89. Tient lieu de mère aux deux fils de ce roi retenus en otage en Espagne, 90. Se réunit à son époux ; son caractère, 104. Ne pouvant inspirer au Roi les sentimens qu’il lui doit, elle cherche dans la pratique des devoirs d’épouse et de sœur les consolations qui conviennent à sa situation, 105. Accompagne le Roi à Villeneuve ; danger qu’elle court en revoyant Charles-Quint, 141. Après la mort de François I, se retire à Talavera, 182. (Introd.) — Fait tous ses efforts auprès du Roi pour l’entretenir en paix avec l’Empereur, XVIII, 118. Ménage une entrevue entre ces deux princes, 119. (Mém. de Du Bellay.) — Se montre disposée à suivre son frère dans sa retraite, XX, 67. (Introd.)

Élisabeth, veuve de Conrad et mère de Conradin, veut détourner son fils d’aller en Italie. En apprenant sa détention, court précipitamment solliciter sa grâce et sa rançon ; apprend sa mort en route, II, 142. Obtient pour toute faveur qu’il sera enterré dans une église, 143.

Élisabeth, reine d’Angleterre, se ligue avec tous les huguenots d’Allemagne, de France et de Flandre ; fait prisonnière la reine d’Écosse ; fait condamner le duc de Norfolck, XXV, 150. Cherche les moyens de faire mourir la reine d’Écosse ; dans quel but, 151. (Mém. de Tavannes.) — Ses droits à la couronne d’Angleterre, XXXIII, 64 et suiv. Elle refuse de se marier avec Philippe II, 75. Rétablit la religion protestante, 77. Fomente les troubles d’Écosse, 81. Se déclare pour les protestans écossais, et commence la guerre à la France, 82. Fait faire des plaintes à la cour de François II, 83. Conclut un traité avec les Écossais, 85. Envoie complimenter Marie Stuart sur son arrivée en Écosse, 126. Éloge de son administration, 127. Elle est disculpée du reproche d’avarice, 128, et d’amour, 129. Son application aux sciences et aux langues étrangères, 130. Ne veut durant sa vie déclarer aucun successeur à sa couronne, 131. (Mém. de Castelnau.) — Accepte la protection des Pays-Bas, où elle envoie le comte de Leicestre, XXXIX, 154. Par quels événemens elle est forcée de renoncer ensuite à cette protection, 155 et suiv. Lève une armée contre le roi d’Espagne, XLIII, 284. Redemande aux États de Hollande partie des sommes dont elle les a secourus depuis dix ans, 292. (Mém. de Cayet.) — Sa réponse à l’ambassadeur Bellièvre, qui vient au nom du roi de France la prier de surseoir à l’exécution de l’arrêt rendu contre la reine d’Écosse, XLV, 321. Détails sur la mort d’Élisabeth, XLVII, 379. (L’Estoile.)

Élisabeth de France, sœur de Henri II, est mariée au roi d’Espagne ; ses regrets de quitter la France, XXXIX, 241. (Mém. de Cayet.) — Sa mort sert de prétexte pour renouveler la guerre en Flandre, XLV, 69. (Mém. de L’Estoile.)

Élisabeth, veuve de Charles IX, fonde à Vienne en Autriche le couvent de Ste.-Claire ; sa piété, sa charité ; sa mort, XLI, 1.

Eme, du parti anglais, assiste à la bataille de Pontvallain, V, 74.

Émeries (le seign.) est fait prisonnier après la bataille de Montlhéry, X, 237.

Emmanuel-Philibert de Savoie, gouverneur des Pays-Bas, fait une fausse attaque sur Rocroy ; assiége S.-Quentin, XX, 70. (Introd.) — Gagne la bataille de ce nom ; méprise le conseil d’aller à Paris, XXIV, 202. (Mém. de Tavannes.) XXXII, 18 et suiv. — Se marie avec Marguerite, sœur de Henri II, et est remis en ses États, XXXIII, 20. (Mém. de Castelnau.) — Le lendemain de la prise de S.-Quentin, donne à dî-