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gnée par les sieurs de Lesdiguières et La Valette en 1591, XL, 201 et suiv.

Esparre (le sieur de L’) passe avec plusieurs bourgeois de Bordeaux en Angleterre, où ils traitent avec le Roi des moyens de remettre cette ville sous son obéissance, XI, 37.

Espercieu (le seigneur d’) est chargé par le roi de France de porter à son ambassadeur auprès de Charles-Quint la réponse définitive aux propositions faites par cet empereur, XVIII, 292. Termes de cette réponse, 293.

Espesses (d’), avocat général, est nommé provisoirement premier président du parlement formé à Tours par Henri III, XX, 225.

Espignac (le sieur d’), archevêque de Lyon, député pour la Ligue aux conférences de Suresne, y tient un discours sur la nécessité de la paix et sur les moyens d’y parvenir, XLI, 315. Autres discours contre la soumission qu’on demande à un roi hérétique, 323. Réplique au discours de l’archevêque de Bourges sur l’obéissance due aux rois, 343. Voit avec regret la ville de Lyon rentrer sous l’obéissance du Roi, XLII, 125. (Mém. de Cayet.) — Demande aux États de Blois que le Roi ne permette d’autre religion que la catholique, XLV, 147. Est arrêté par ordre de Henri III avec le cardinal de Guise, 378. Va trouver les officiers de police pour leur remontrer la nécessité de pourvoir aux besoins du peuple, XLVI, 56. Fait rapport aux États des entrevues de Suresne, 413. Retourne dans son diocèse, 519. Sa mort, ses qualités, XLVII, 242. (L’Estoile.)

Espinay (le marquis d’), du parti du Roi, est tué au siége de Rouen, XLI, 50.

Espinette (les jeux de l’), usités à Lille en Flandre, étoient des espèces de tournois ou joûtes, où les grands seigneurs ne faisoient pas difficulté de se trouver, III, 156.

Espinoy (le comte d’), seign. des Pays-Bas, est tué dans une rencontre aux environs de Dourlens, XXXI, 209.

Essahib-Giémal-Edden-ben-Matroub, poëte arabe, fait des vers à l’occasion du départ du roi de France se rendant d’Égypte à Acre, III, 34.

Essarts (Philippe des) passe au service de Louis XI après la mort du duc de Guyenne, devient bailli de Meaux, maître des eaux et forêts, etc., XII, 83 ; XIII, 445.

Essé (d’) est fait gentilhomme de la chambre en récompense de sa génereuse résistance dans la ville de Landrecies, XVII, 167. (Introd.) — Est blessé au siége de cette ville, XIX, 463. (Mém. de Du Bellay.)

Essex (le comte d’), gouverneur d’Irlande, est jugé et condamné à mort ; cause de sa condamnation, XXXVI, 489. (Pontlevoy.) — Amène à Henri IV un secours de 4,000 anglais ; magnificence de ce seigneur, XL, 284. Sa lettre de défi au gouverneur de Rouen Villars-Brancas, 356. Fait une déclaration des causes qui ont porté la reine d’Angleterre à lever une armée contre le roi d’Espagne, XLIII, 284. Fait voile vers l’Espagne avec l’amiral Haward ; assiége Cadix, 386. S’en rend maître par force ; reçoit le château à composition, 287. Retourne, contre son avis, en Angleterre, 288. Essaie inutilement de brûler la flotte espagnole stationnée au Férol, 440. (Mém. de Cayet.) — Amène à Henri IV un secours de 3,000 hommes, XLVI, 179. Son jugement et son exécution, XLVII, 308. (L’Estoile.)

Est (Franç. d’), frère du duc de Ferrare, est fait prisonnier près de Landrecies, XIX, 457.

Est (Hippolyte d’), cardinal de Ferrare, légat du Pape en France, détermine le roi de Navarre à quitter le parti protestant et à se réconcilier avec les Guise, XXXIII, 160.

Estampes (le sieur d’), capit. du parti du Roi, est surpris et tué dans une embuscade par le comte de Carses, XXXIX, 347.