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les rendre permanens ou périodiques, 298.

États généraux tenus sous Jean II : en quoi ils diffèrent de ceux assemblés par Philippe-le-Bel, IV, 125. Position respective des trois ordres entre eux, 126. Décisions des États relatives à l’administration publique, 127. Réformes utiles qu’ils auroient pu faire ; maux qu’ils causèrent, 128.

États généraux assemblés par le duc de Mayenne : ouverture de cette assemblée, XLVI, 333. Leur résolution au sujet des conférences proposées par les catholiques royaux, 349 et 360. Écrivent au duc de Mayenne pour le prier d’envoyer de prompts secours à la ville d’Orléans, 350. Se plaignent à lui des impositions qu’on lève aux passages des villes, ponts, rivières, etc., et le prient de les faire cesser ; écrivent à tous les députés nommés et non présens, entre autres au duc de Guise, de se rendre à l’assemblée, 361. Exhortent les Orléanais à la constance, leur promettant des secours, et pressent leurs députés de venir aux États, 362. Les États reçoivent la réponse des catholiques royalistes relative aux conférences, 363. Décident que le duc de Mayenne sera invité à revenir, 364. Requièrent qu’on fasse justice des placards affichés contre la tenue des conférences pour la paix, menaçant de se retirer si elle n’est faite, 370. Félicitent le duc de Mayenne sur la prise de Noyon ; le supplient de revenir au plus tôt pour l’élection d’un roi, 375. Nomment des députés pour la conférence de Suresne, 382. Décident qu’on fera défense aux politiques de s’assembler, 428. Sur la proposition du duc de Féria pour l’Infante, les États déclarent qu’ils ne peuvent renverser la loi fondamentale du royaume ; quant au prince Ernest, ils ne peuvent élire un étranger, 432. Débats au sujet de la déclaration faite par les députés nommés pour assister aux conférences de Suresne, 450, et sur la trève qui a été proposée, 451. Reçoivent purement et simplement le concile de Trente, 509.

États généraux de 1614 : principales matières qui y sont traitées, L, 258.

Étienne Du Perche, frère du comte Geoffroy, se croise, I, 104. Arrive à Constantinople venant de la Terre Sainte, et reçoit de l’empereur Baudouin le duché de Philadelphie, 324. Est repoussé par les Grecs devant le château Pentace, 350. Est tué à la bataille d’Andrinople, 356.

Étienne, roi d’Angleterre, petit-fils de Guillaume-le-Conquérant, se rend maître de la couronne au détriment de sa cousine Mathilde, fille de Henri I, et femme du comte d’Anjou ; est fait prisonnier, puis replacé sur le trône, IV, 34.

Étienne (frère), minime, confesseur de la demoiselle Aurillot, appelée la dévote, fait une oraison funèbre de cette demoiselle, avec plusieurs épîtres, révélations, illuminations, extases, etc., pour l’édification de ceux de la Ligue, XLVI, 95.

Étienne (Henri), venu de Genève à Paris, reçoit du Roi un brevet de mille écus pour son livre de la Préexcellence du langage français ; refuse 600 écus comptant qu’un trésorier lui offre sur son brevet, et finit par perdre tout, étant forcé de retourner à Genève, XLV, 296.

Étrennes, présens annuels que les rois de France recevoient dans leurs assemblées générales ; d’où vient ce nom, III, 79.

Eu (le comte d’) vient trouver le Roi à Jaffa, et est fait chevalier, II, 347. Amusemens de ce seigneur, 421.

Eu (le comte d’), connétable de France, est envoyé à Caen, où il se laisse forcer et se rend prisonnier, IV, 108. Vient à Paris traiter de sa rançon, y est arrêté et décapité pour cause de trahison, 119.

Eu (Philippe d’Artois, comte d’),