Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/216

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camp du régiment de Piémont, 5. Assiste à l’affaire du Pont-de-Cé ; contribue à la prise de S.-Jean-d’Angély ; se trouve au siége de La Rochelle ; va porter la nouvelle de la prise de cette ville aux ducs de Savoie et de Mantoue ; est chargé de conduire à la cour mademoiselle de Montpensier, puis de négocier avec le duc de Rohan ; devenu lieutenant général et conseiller d’État, il remplit plusieurs missions diplomatiques importantes, 6. Est envoyé à Rome par le cardinal Mazarin pour solliciter le chapeau en faveur de son frère, 7. Ses connoissances ; son admiration pour le cardinal de Richelieu ; son expérience et son bon sens, 8. Ses Mémoires, jusqu’à présent inédits, se divisent en deux parties ; quel en est le sujet ; la seconde partie se compose de morceaux détachés, 9. Autres Mémoires relatifs à des négociations, 10. (Notice.) — Avertit le fils aîné et le neveu de M. de Souvré du projet conçu par M. de Vitry et La Curée de faire nommer un fauconnier du Roi, 138. Obtient la permission d’aller en Italie, 218. Se rend à Mantoue ; bonheur dont le prince et ses sujets jouissent dans ce pays, 219. Va à Venise, puis à Inspruck, 220. Assiste à la diète de Ratisbonne, 221. Va à Heidelberg, 223. Est visité par l’électeur palatin ; détails sur Heidelberg, 224. Tente une attaque sur S.-Jean-d’Angély, où il court grand danger, 505. Cette tentative devient une déclaration de guerre entre le Roi et les protestans, 506. Fait l’attaque du faubourg de Taillebourg ; emporte le portail et les barricades, 508. Est blessé au siége de Royan, 536. Est envoyé à Paris pour amener à Blois mademoiselle de Montpensier, LI, 15. Comment il exécute cette commission, 17. Est envoyé à Montpellier pour écouter les propositions de M. de Rohan, 161. Chasse des Lorrains de Radonvilliers, 227. Met le feu au village de Bray pour empêcher les ennemis d’y loger, 248. Est envoyé par le Roi pour défendre S.-Quentin, menacé par les ennemis, 257 ; puis à Beauvais, 258. Est laissé devant Corbie pour empêcher qu’il n’y entre du secours ; travaux qu’il y fait, 261. Envoie à M. le maréchal de Châtillon un tambour qui lui est adressé de la part du commandant de Corbie pour demander une capitulation, 264. Il apprend des otages restés dans Corbie pourquoi les Espagnols ont sitôt rendu cette place, 269. Avertit le cardinal Barberin du projet formé par l’ambassadeur d’Espagne à Rome d’enlever l’évêque de Lamego, ambassadeur du Portugal, 282. Prend lui-même des précautions pour garantir la personne de l’évêque qui est venu chez lui, 285. Le fait escorter par ses gens, 286. Combat livré entre eux et la suite de l’ambassadeur d’Espagne, 287. Fait auprès du cardinal Antoine, camerlingue, d’inutiles instances pour qu’on laisse l’ambassadeur portugais retourner librement chez lui, 289. Demande inutilement audience à Sa Sainteté pour lui faire connoître ce qui s’est passé, 290. Déclare au cardinal Barberin que si l’on fait quelque chose au désavantage de l’ambassadeur de Portugal dans la congrégation extraordinaire qui doit s’assembler, il se conduira comme il convient à un ministre d’un roi puissant et victorieux, 292. Est reçu en audience par le Pape ; y déclare qu’il n’abandonnera point l’ambassadeur de Portugal si les Espagnols l’attaquent, 296. Est envoyé à Rome afin d’apaiser le différend élevé entre le duc de Parme et le cardinal Barberin ; fait au Pape plusieurs propositions à cet égard, lesquelles ne sont point écoutées, 299. Propose une trève de quelques années, 300. Ses efforts pour amener un traité de paix entre les puissances liguées d’Italie et le Pape, 304. Succès qu’ils obtiennent, 307. Est envoyé à Rome par le cardinal Mazarin pour demander le chapeau de cardinal pour le frère de ce ministre ; difficultés qu’il éprouve