Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/219

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Gouffier se rend maître, 530. Lève une grande armée pour aller recouvrer Milan ; apprenant les projets du connétable de Bourbon, envoie des gens pour le prendre, 532. Charge Guillaume Gouffier du commandement de l’armée d’Italie, 533. Entreprend d’aller faire lever le siége de Marseille au connétable de Bourbon, 538. Se rend à Aix et se décide à entrer en Italie, 539. Arrivé à Biagras, il apprend que l’armée du roi d’Espagne et le connétable sont à Milan ; y envoie le marquis de Saluces, qui s’empare de cette ville ; va assiéger Pavie, 540. Veille à tout, pourvoit à tout pendant le siége, 542. Ses exhortations à ses troupes, 545. Bataille de Pavie, 550. Le Roi est fait prisonnier, 552. (Panég. du Cheval. sans repr.) — N’étant que comte d’Angoulême, il est chargé par Louis XII de défendre les frontières du nord de la France ; préserve la Picardie de la ruine et du pillage, XV, 126. (Tabl. du règn. de Louis XII.) — Est envoyé en Guyenne contre les Espagnols, XVI, 230. Reprend S.-Jean-Pied-de-Port ; renvoie en France une partie de son armée, 231. Est sacré à Reims et couronné à S.-Denis, 276. Son entrée à Paris ; fêtes et tournois qui s’y font, 277. Lève une belle armée pour l’Italie, 278. Dénombrement de cette armée ; noms des principaux chefs, 279. Part de Lyon laissant sa mère régente du royaume, 280. Se rend maître de Novarre et de son château ; s’arrête à Marignan, 287. Envoie des ambassadeurs aux Suisses pour traiter avec eux, 288. Veut être armé chevalier par les mains de Bayard avant la bataille de Marignan, 291. (Voir aussi les Mém. de Bayard, qui disent que cela se fit après la bataille, 104, même vol.) Charge l’ennemi avec 5 hommes d’armes, et veille continuellement sur son artillerie, 294. Passe la nuit sur une charrette, 295. (Voir aussi, même vol., le Journal de Louise de Savoie, 398. Prend Bapaume, Metz-sans-Couture ; défait les ennemis près de Valenciennes, 406.) Envoie prendre Milan et assiéger le château, 300. Rend Bresse aux Vénitiens, 301. Fait son entrée dans Milan ; fêtes et tournois qui s’y font, 304. Se rend à Bologne pour conférer avec le Pape, 306. Détails sur cette entrevue, 307. Retourne en France, 310. Fêtes données à Amboise à l’occasion du baptême de son fils aîné, 326. Ville en bois contre laquelle on fait un siége ; noms des seigneurs qui y figurent ; plusieurs personnes y sont tuées ou blessées, 328. À la nouvelle de la mort de l’empereur Maximilien, le Roi envoie les seign. de Bonnivet, d’Orval et de Fleurange en Allemagne pour gagner les électeurs, 330. Détails curieux sur cette ambassade, 331. Comment le Roi reçoit les ambassadeurs du roi d’Angleterre, 340. Entrevue arrêtée entre les deux princes dans la ville d’Ardres, 341. Retour des ambassadeurs français après l’élection de l’empereur Charles-Quint, 342. Détails sur l’entrevue du roi de France et du roi d’Angleterre, 345. Joûtes, tournois et festins, 351. (Voir le Journal de Louise de Savoie, 403.) Le mariage entre le Dauphin et la fille du roi d’Angleterre y est conclu, 353. Le Roi envoie l’amiral de Bonnivet dans la Guyenne pour reconquérir la Navarre, 360. (Mém. de Fleurange.) — Louis XII le fait étudier au collége de Navarre, XVII, 13. Est gouverné par sa mère Louise de Savoie ; se plaît dans la société de sa sœur Marguerite, duchesse d’Alençon ; comparaison de ces deux princesses, 14. Intrigue secrète de François I avec Anne de Boulen, 15. Essaie de détacher Ch. d’Autriche et Léon X de la ligue formée contre la France, 16. Pense à faire la conquête du duché de Milan, 17. Érige en faveur de sa mère le comté d’Angoulême en duché ; lui donne la régence, et part pour l’Italie, 18. Triomphe des Suisses à Marignan, 19. Sa lettre à sa mère sur cette bataille, 184. Son entrevue