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les princes, seigneurs et officiers de son armée et de sa maison de lui obéir, 139. Sa mort chrétienne, 140. Sa belle conduite pendant qu’il fut lieutenant général pour son frère Charles IX, 141. Comment après son retour de Pologne il se laisse peu à peu conduire par deux mignons, 142. Portrait de ce prince, 143. (Cheverny.) — Dans son enfance, il ne peut éviter l’influence des huguenots ; presse sa sœur de changer de religion, XXXVII, 31. Fait admirer son éloquence dans le discours qu’il adresse au Roi au Plessis-lès-Tours, 36. Son entretien avec Marguerite de Valois ; il la prie d’être son appui auprès de la Reine sa mère, 37. Sa colère en apprenant que le duc d’Alençon son frère est sorti de la cour ; il commande aux princes et seigneurs d’aller à sa poursuite et de le ramener mort ou vif, 82. Accuse Marguerite de Valois du départ du duc d’Alençon ; veut lui donner des gardes ; en est détourné par sa mère, 84. À la persuasion de Du Guast, il envoie à la maison de Chastelas des gens chargés d’enlever mademoiselle Torigny et de la noyer, 85. Rend la liberté à Marguerite de Valois, et lui demande son amitié, 92. La prie d’accompagner sa mère auprès du duc d’Alençon, et de travailler à remettre la paix entre eux, 93. À son retour lui fait toutes sortes de caresses ainsi qu’à son frère ; la retient à la cour, s’oppose à ce qu’elle rejoigne son mari, 96. Convoque les États à Blois ; engage son frère à signer la Ligue avec lui ; la signe le premier, 97. Renvoie au roi de Navarre le huguenot Génissac avec des paroles dures et menaçantes ; déclare le duc d’Alençon chef d’une de ses armées, 98. Refuse positivement à la reine de Navarre d’aller rejoindre son mari, 99. Lui accorde la permission d’aller aux eaux de Spa, 103. (Marg. de Valois.) — Il est trompé deux fois en assemblant les États à Blois, où il croit trouver plus de députés pour la paix que pour la guerre, XXXVIII, 261. Ses divers édits de pacification, 262. Il ordonne aux Parisiens de garder les portes de leur ville, 264. Publie une déclaration en réponse au manifeste de la Ligue, 265. Déclare malgré lui la guerre aux hérétiques, 266. Concessions qu’il fait aux chefs de la Ligue, 267. Commande à tous les huguenots de sortir du royaume dans quinze jours, 271. Obtient de l’assemblée du clergé que cet ordre continuera pendant 10 ans à payer les rentes dues à l’hôtel-de-ville de Paris, 302. Sa réponse aux ambassadeurs des princes d’Allemagne à l’occasion des secours que leur a demandés le roi de Navarre, 303. Il fait vérifier au parlement 26 édits portant création de nouveaux officiers ; son discours à ce sujet, 304. Écrits publiés pour et contre cette mesure, 307. Établit la confrérie des pénitens blancs ; costume de ces pénitens, 311. Le Roi se montre fort assidu à en observer les règles ; les ligueurs lui en font un crime, et le tournent en ridicule, 312. Fait faire des oratoires et construire des monastères, 318. Exhorte le duc de Guise à aviser aux moyens de faire la paix, 319. Ordonne à ses troupes de marcher contre les Allemands qui viennent en France, 320. Comment il les empêche de passer la Loire, 337. Détache 12,000 Suisses de leur armée, en leur permettant de retourner dans leur pays moyennant de l’argent, 340. Remporte aux yeux des gens sensés tout l’honneur de la déroute des étrangers, 343. Fait faire de magnifiques funérailles au duc de Joyeuse, 345. Faute qu’il commet en ne punissant pas les auteurs de l’émeute arrivée le jour de Saint-Severin, 346. Il envoie M. de Bellièvre au duc de Guise pour lui dire de ne point venir à Paris, 351. Veut châtier quelques factieux des Seize, 352. Fait entrer des troupes à Paris, 353. Se voit forcé de les faire sortir, 355. Sort lui-même de Paris et se retire à Chartres, 356. Publie des lettres à l’occasion de la journée des Bar-