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portant confiscation des biens du duc de Mayenne, 115 ; l’autre sur la trève qu’il a conclue avec le roi de Navarre, 116. Reçoit le roi de Navarre au Plessis-lès-Tours ; détails sur cette entrevue, 128. Danger qu’il court d’être pris au-dessus de Tours par des cavaliers de la Ligue, 132. Envoie demander des secours en Angleterre et en Allemagne, 137. Refuse de se mêler des affaires des Pays-Bas, 153. Se rend à Poitiers, dont les portes lui sont fermées ; transfère le siége présidial à Niort, 168. Assiége et prend Gergeau, 183. Emporte Pluviers de force, 184. Pille Étampes ; est reçu dans Dourdan, 185. Passe le pont de Poissy ; force Pontoise à se rendre, 186. Se rend maître du pont de S.-Cloud ; est assassiné par un jacobin, 194. Écrit à tous les princes étrangers et à tous les gouverneurs des provinces pour les instruire de cet assassinat, 195. Détails sur ses derniers momens, 196. Il recommande aux seigneurs présens de reconnoître le roi de Navarre pour son successeur légitime, 199. Sa mort, 200. Opinions et discours des calvinistes et des ligueurs sur cette mort, 201. Apologie de Henri III par les royalistes, 214. Oraisons funèbres prononcées dans toutes les églises cathédrales des villes royales, 218. Le corps du Roi est déposé à Compiègne, 226. (Mém. de Cayet.) — Il change l’ancienne forme des expéditions des dons et bienfaits ; abus de ce changement, XLIV, 28. Motif qui le porte à avancer la conclusion de la paix avec le roi de Navarre, en 1577 ; satisfaction qu’il en éprouve, 32. Signe, et fait expédier à regret au duc de Guise, le pouvoir qu’il a résolu d’abord de lui donner, 74. Approuve que les habitans d’Angoulême refusent leurs portes au duc d’Épernon, et les y exhorte même pour le bien de son service, 79. (Villeroy.) — Il recommande le comte d’Auvergne au maréchal de Biron, 524. Ses paroles au comte après qu’il a été blessé, 527. Prière qu’il adresse à Dieu pendant la messe qui se dit devant lui, 529. Ses paroles au roi de Navarre, 530. Il ordonne aux seigneurs présens de reconnoître le roi de Navarre pour son successeur légitime, et leur fait prêter serment de fidélité, 531. Donne des ordres pour assurer son parti ; ses derniers momens, 533. (Mém. du duc d’Angoulême.)

Il part secrètement de Pologne ; son voyage jusqu’à Lyon, XLV, 100. Promotions qu’il y fait, 101. Conditions auxquelles il veut bien pardonner à ses sujets rebelles, nommément aux huguenots, 102. Il communie à Lyon le jour de la Toussaint, avec le roi de Navarre et le duc d’Alençon, qui lui protestent de leur fidélité ; publie un édit pour la vente et l’aliénation de 200,000 livres de rente sur le clergé ; envoie dire au maréchal de Montmorency, prisonnier à la Bastille, qu’il ait à écrire au maréchal d’Amville, et à ses deux autres frères Thoré et Méru, de poser les armes, 105. Se rend à Avignon ; disette de la cour dans ce voyage ; il écrit aux Rochellois de poser les armes ; conditions qu’il leur offre, 106. Se fait recevoir de la confrérie des pénitens avec la Reine mère et le roi de Navarre, 107. Fait donner un assaut à Liveron ; est repoussé, 111. Est sacré à Reims ; épouse Louise de Lorraine, 112. Passe à S.-Marcoul, où il fait faire sa neuvaine, 113. Arrive à Paris, s’y livre à toutes les pratiques de dévotion, et cherche tous les moyens de faire de l’argent, 114. Reçoit les députés du prince de Condé, du maréchal d’Amville, de la province de Guyenne et de La Rochelle ; fait examiner leurs demandes ; propositions qu’il leur fait, 115. Établit un nouveau cérémonial qui donne lieu à un sonnet fait par dérision, 119. Tient un lit de justice pour gratifier son beau-frère le duc de Lorraine de quelques points concernant le duché de Bar, 120. Fait faire à Paris, le jour