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que d’être tué par les gens de M. de Sourdis, 95. Tient avec madame de Liancourt sur les fonts l’enfant de madame de Sourdis, qu’on dit être du chancelier, d’autres de l’évêque de Maillezais ; quatrain sur ce baptême, 96. Fait pendre huit voleurs qui sont venus à S.-Germain-en-Laye pour le tuer, 98. Renouvelle l’édit de pacification de 1577 ; ses paroles à cet égard ; sa réponse à ceux de la religion qui demandent des chambres mi-parties et un protecteur, 99. Est blessé par Jean Chastel, 101. Prédictions faites au Roi sur cet événement, 105. Sa réponse à madame de Balagni, qui se plaint de sa tristesse, 106. Il assiste à une procession générale ; allégresse du peuple en le voyant ; mot du Roi à ce sujet, 107. Refuse de chasser les ligueurs de Paris, 108. Solennise l’ordre des chevaliers du S.-Esprit, 111. Envoie aux augustins 6 moutons, un demi-bœuf et un muid de vin, en leur recommandant qu’il n’y ait point de ligueur parmi eux, 115. Déclare la guerre au roi d’Espagne, 116. Reçoit les ambassadeurs de Venise, 124 ; et la nouvelle de la défaite de la garnison de Soissons dans la plaine de Villers-Cotterets, 126. Sa réponse au présid. Seguier sur les remontrances du parlement concernant l’édit des consignations, 127. Sa réponse à M. de Bourges sur des prédictions que lui a faites un gentilhomme de Gascogne ; il empêche l’exécution de deux gentilsh. condamnés à être décapités, 128. Empêche une grande assemblée qui doit se faire chez Madame pour le prêche, 129. Prie souvent Dieu, et pleure sur la misère de son peuple, 134. Reçoit la nouvelle de la reddition des villes d’Autun et de Nuitz, qui ont égorgé leurs garnisons ligueuses, 135. Sa lettre à Madame sur la défaite du duc de Mayenne près de Dijon, 136. Il écrit au parlement pour le même objet, 137. Fait son entrée à Lyon, en donne le gouvernement à M. de La Guiche ; accorde une trève à M. de Mayenne, 142. Va au secours de Cambray, 146. Ses réponses plaisantes à plusieurs harangueurs, 147. Assemble les États de Picardie, assiége La Fère, 148. Retire auprès de lui le jeune prince de Condé pour le faire instruire dans la religion catholique, 149. Accident qui lui arrive en Picardie, 153. Il reçoit le duc de Mayenne, qui vient lui baiser les mains, 155. Comment il accueille un maître des requêtes nommé Dubreuil, 157. Rétablit les intendans de ses finances, 160. Reprend le jeune S.-Luc de propos tenus au fils du duc de Mayenne, 161. Établit à Soissons un bureau de recette générale de ses finances, un bailliage et un siége présidial, 164. Va au devant du cardinal de Florence, légat du Pape, menant avec lui le duc de Mayenne, auquel il fait faire jusqu’à 25 lieues dans un jour, 175. Son entretien avec un pensionnaire du cardinal d’Autriche payé pour le tuer, 179. Fait son entrée à Rouen ; y commande un service solennel en mémoire du cardinal de Tolède, qui a décidé le Pape à l’absolution du Roi, 181. Sa harangue aux notables, 184. Sa réponse à la marquise sur cette harangue, 185. Donne une grande fête le jour du baptême de Catherine-Henriette, sa fille naturelle ; menace de la Bastille le premier qui parlera contre l’édit sur les rentes de la ville, 186. Guérit d’une fièvre quarte en mangeant des huîtres, 187. Se rend à la foire S.-Germain, y marchande beaucoup, achète peu, 189. Les dix Commandemens du Roi semés dans le Louvre ; fait une mascarade aux sorciers, 190. Assiste à la procession générale du jubilé ; visite Madame, malade ; chante sur un psaume ; est interrompu par la marquise, 191. Gagne au jeu, 192. À la nouvelle de la prise d’Amiens par l’Espagnol, il marche à la tête de ses troupes, 193. Pasquils faits à cette occasion, 194. Sa réponse au premier président du parlement,