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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/313

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buleuse, moitié historique, sur l’Angleterre, 175.

Jean de Hollande, frère du roi Richard d’Angleterre, se rend au défi proposé par Boucicaut entre Boulogne et Calais, VI, 428. Joûte avec lui, 429. Est blessé, 431.

Jean, duc de Bourbon, entre dans la ligue dite du Bien public, X, 235. (Mém. de La Marche.) — En est un des principaux instigateurs, XI, 271. Obtient du duc de Bourgogne la permission pour son fils de lever des troupes afin de se mettre en état de défense, 272 et 342. (Introd.) — Fait arrêter le seign. de Crussol, un des familiers du Roi, XIII, 266. Entre dans Rouen, 318. Ce qu’il obtient par le traité de Conflans, 319. Vient parler au Roi à la grange de Reuilly, 327. Prend les villes d’Évreux et de Vernon pour le Roi, 333. Vient à Paris pour mettre garnison dans plusieurs villes, et empêcher les Bourguignons d’entrer en France, 369. Se rend auprès du Roi avec une belle escorte, et retourne à Clermont en Argone, XIV, 9. (J. de Troyes.) — Ses prétentions à la régence pendant la minorité de Charles VIII, 132. Reçoit l’épée de connétable et le titre de lieutenant général du royaume ; se réunit au duc d’Orléans pour demander des réformes dans le gouvernement, 134. Entre dans ses projets, 160. Vient à Beauvais ; blâme la politique de Madame ; quitte brusquement la cour ; y retourne à la sollicitation des maréchaux de Gié et des Cordes ; consent aux désirs de Madame, 162. Promet de lui prêter son assistance ; éloigne de lui les seigneurs de Culant et Philippe de Comines, 164. (Tabl. du règ. de Ch. VII.)

Jean, duc de Clèves, neveu du duc de Bourgogne, défend avec honneur sa ville et son duché contre l’archevêque de Cologne, IX, 452. Se marie avec Isabelle de Bourgogne, fille du comte d’Étampes, X, 157. Fait publier une joûte à Lille ; prix de la joûte, 161. Détails sur les préliminaires de cette fête, 164. Noms des seigneurs qui joûtèrent contre le chevalier au cygne d’or, 166.

Jean de Chalons, seign. d’Arguel, depuis prince d’Orange, se marie avec Catherine de Bretagne, fille de Richard, comte d’Étampes ; le duc de Bourgogne assiste à ce Mariage ; fêtes à cette occasion, IX, 316. Lève des troupes en Bourgogne pour soutenir le duc d’Orléans, 453. Fait la guerre aux Milanais ; est obligé de revenir en Bourgogne après de grandes pertes, 454. Lève plusieurs gens d’armes bourguignons pour le duc d’Orléans ; vend à cet effet une partie de ses biens, et s’attire le mécontentement de son père, X, 25. (Mém. de La Marche.) — Fait hommage de sa principauté à Louis XI, et lui rend d’importans services, XII, 318. Se lie ensuite avec les partisans de Marie, et enlève beaucoup de places aux Français ; est condamné à être pendu, 320. (Comines.) — Abandonne le service du duc de Bourgogne, XIII, 401. Est pendu en effigie pour avoir pris le parti de Marie de Bourgogne, XIV, 60. (J. de Troyes.) — Est fait prisonnier à la bataille de S.-Aubin, 175. Est enfermé au château d’Angers, 177. Est mis en liberté, 184. Se rend en Bretagne, où sa présence ranime les espérances d’Anne de Bretagne, 185. (Tabl. du règ. de Ch. VIII.)

Jean-sans-Peur, comte de Nevers, fils du duc de Bourgogne, est autorisé par son père à aller faire la guerre en Hongrie contre Bajazet ; montre tant de bravoure à la bataille de Nicopolis, qu’il est nommé sans peur par ses compagnons d’armes, VI, 246. Y est fait prisonnier, puis racheté, 247. Sa puissance à la mort de son père, 255. Son caractère, 256. Établit l’ordre dans ses affaires, 257. Demande à entrer au conseil, 258. Inflexibilité qu’il y montre ; se retire de la cour et retourne en Flandre ; mais fait agir ses agens pendant son absence, 259. Rappelé par le Roi, s’avance vers Paris, 260. Y