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le gagner et l’engager à renvoyer les Français, 361. Guerlo n’ayant pu réussir, Jules quitte La Mirandole et se retire à Modène, 366. (Mém. de Bayard.)

Jules III, pape, reconnoissant le bon droit d’Octave Farnèse au duché de Parme, l’en investit, et ordonne à Camille Ursin de le lui remettre, XXXI, 19. Gagné par Charles-Quint, il annonce au duc Octave qu’il ne peut plus le soutenir, 20. Irrité du traité qu’Octave a conclu avec le roi de France, il menace ce prince et son royaume des censures de l’Église, et consent que l’Empereur recouvre le duché de Parme par tous les moyens qu’il voudra, 21.

Julian, capit. espagnol, refuse de consentir à la capitulation du château de Dinant, XXXI, 261. Est forcé de céder, et retenu prisonnier, 262.

Juliers (la ville et le château de) sont remis par capitulation entre les mains de mess. les princes de Brandebourg et de Neubourg, XLIX, 132.

Justel publie un livre intitulé Codex canonum Ecclesiæ universæ à Justiniano imperatore confirmatus, XLIX, 8. Devient secrétaire du duc de Bouillon, 123.

Juvénal des Ursins, chancelier de France, adresse un discours au roi Louis XI avant son sacre ; texte de ce discours, rapporté par l’abbé Legrand, XI, 298. (Introd.) — Est arrêté, et retenu à Moulins ; puis délivré, XIII, 267. Est remis dans l’office de chancelier, 331. (J. de Troyes.)

Juvénal des Ursins (Louis), fils du seign. de Traignel, est envoyé au secours de Basas par le vicomte de Limoges, VIII, 91. Après avoir reconnu la place se décide à la laisser prendre, 92.

Juvigny (le seign. de) est pendu en effigie pour un discours d’État, XLVII, 498.

K

Kaieu (Anseau de) prend la croix, I, 104.

Kalifes (les), successeurs de Mahomet, se laissent corrompre par le luxe et la mollesse, et perdent une grande partie de leur puissance, III, 4.

Karak, ville et forteresse sur les confins de l’Arabie pétrée, III, 9.

Karesmiens (les) : caractère de ce peuple ; ravages qu’ils commettent en Syrie et en Palestine, III, 8. Triomphent à Gaza des Syriens et des Francs réunis, 9. Assiégent Damas, 11. Se brouillent avec le sultan d’Égypte ; se liguent avec Mansour ; assiégent de nouveau Damas et sont entièrement défaits, 12.

Kersimon (le sieur de) rassemble 5 à 6,000 hommes, et défait 4 enseignes de Flamands débarqués au village du Conquest, XXXII, 209.

Knolles (Robert), l’un des plus habiles généraux d’Édouard, descend à Calais avec une forte armée, IV, 153. (Précis des guerr. ent. la Fr. et l’Angl.) — Accompagne le duc de Lancastre en Bretagne, 184. Engage inutilement Duguesclin à renoncer au combat proposé par Th. de Cantorbie, 218. Reçoit de ses mains ce même Th. de Cantorbie vaincu et balafré, 222. Revient en Bretagne avec un grand corps de troupes, 225. Fait serment qu’il ne quittera point cette province qu’elle ne soit soumise tout entière à Montfort, 288. Fait recevoir les otages du gouverneur d’Auray, et donner des vivres à la garnison de cette ville, 290. Relève l’étendard du comte de Montfort, renversé par le vert Chevalier, 298. Fait garder à vue le comte d’Auxerre, 303. (Anc. Mém. sur Duguescl.)