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Flèche, qui ne fait aucune résistance, 477. Conclut un traité avec sa mère après l’affaire du Pont-de-Cé, 488. Lui donne rendez-vous à Brissac, 490. Va avec elle à Poitiers, prend ensuite le chemin de Bordeaux, 491. Ennuyé des remises de M. de La Force, il se rend en Béarn pour y faire exécuter ses édits, 495. Y fait assembler les États, prononce l’union du pays et de la Navarre à la France ; met l’ordre nécessaire pour tenir le pays en repos, et retourne à Paris, 496. Envoie au parlement de Pau une déclaration portant défenses à toutes personnes de faire des assemblées sans sa permission, 497. Ordonne à M. de La Force de désarmer et de s’absenter du Béarn, 503. Part de Paris après avoir publié une déclaration en faveur de tous les protestans qui demeureront dans l’obéissance ; fait rassembler toutes les garnisons du Poitou, et les fait marcher du côté de S.-Jean-d’Angély, 504. Va s’assurer de Saumur, d’où il ôte M. Duplessis-Mornay, 506. Va au siége de S.-Jean-d’Angély, 508. Après la reddition de cette place, ordonne d’en démolir les fortifications ; soumet Pont et plusieurs autres villes, 513. Va à Toulouse, après avoir levé le siége de Montauban ; renvoie son confesseur le père Arnoux, à la sollicitation de M. de Luynes, 524. Va au siége de Monheur, 525. Son indifférence sur la mort de M. de Luynes ; il reçoit la soumission de la ville de Monheur, 526. Va à Bordeaux, 527. Se rend à Rie, d’où il force M. de Soubise de déloger, 532. Va assiéger Royan, 533. Soumet cette place ; arrive devant Sainte-Foy, 535. Accorde à M. de La Force les conditions qu’il fait proposer pour la remise de cette place, 536. Emporte d’assaut Négrepelisse, qui est pillé et brûlé, et S.-Antonin, 537. Cabales à la cour du Roi, 538. Il fait connétable M. de Lesdiguières, 539. Prend Lunel, 540. Entre dans Montpellier après avoir consenti un traité avec les protestans, 548. Visite la Provence ; reçoit M. de Savoie à Avignon ; envoie à la Reine mère la nouvelle de la promotion de M. l’évêque de Luçon au cardinalat, 549. Va à Lyon où il trouve les Reines, 550. Fait son entrée avec elles à Paris, 552. Son mot au maréchal de Praslin à l’égard du cardinal de Richelieu, 561. Motifs qui le déterminent à faire entrer ce cardinal au conseil, 562. Va au siége de La Rochelle, où il tombe malade, LI, 35. Donne des ordres pour assurer des secours à la garnison du fort Louis, 44. Y fait passer 6,000 hommes de pied et 800 chevaux, 51. Fait pour l’entretien, et la subsistance des officiers et soldats deux choses qui contribuent beaucoup au bon succès de son entreprise sur La Rochelle, 70. Retourne à Paris, laissant au cardinal un pouvoir de général pour commander, 72. Revient au camp, où il trouve tout dans le meilleur ordre, 89. Envoie M. de Guron en Italie pour exhorter le Pape et les Vénitiens à empêcher que les Espagnols ne se rendent maîtres de Casal, et gagner aussi M. de Savoie par de belles propositions 92. Veut prendre part au combat que la flotte anglaise va livrer, 110. Reçoit les députés des Rochellois ; leur accorde le pardon qu’ils demandent à genoux, 116. Fait donner du pain aux habitans de La Rochelle, 117. Fait son entrée à cheval dans cette ville, 118. Déclaration du Roi concernant La Rochelle, 122. Bannit les principaux auteurs de la rebellion ; retourne à Paris ; fait part à tous les princes voisins de ces heureux succès, 123. Sur l’avis du cardinal de Richelieu, il se décide à secourir Casal et à aller lui-même en Italie, 127. Ne peut être arrêté par les propositions du comte d’Olivarès, ni par celles du duc de Savoie, 129. Emporte les barricades à l’entrée du Piémont, 132, et la ville de Suse, 135. Fait un traité avec M. de Savoie, qui s’oblige à donner passage à l’armée, 136. Autres clauses du traité,