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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/407

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de Tarascon, assiégée par le duc d’Anjou, 459. Se distingue à la bataille de Montiel, V, 38. (Anc. Mém. sur Duguescl.) — Attaque les Anglais au Parc-l’Évesque, et devient leur prisonnier après s’être vaillamment défendu, VIII, 114. (Mém. conc. la Puc.)

Maupeou (de), jadis intendant de la maison de Joyeuse, meurt riche de plus de 100,000 écus, XLVIII, 178.

Maurevert (Louviers de), assassin de profession, gagné par le duc de Guise, tire un coup d’arquebuse à l’amiral de Coligny, et s’échappe par la fuite, XX, 151. (Introd.) — Va au siége de La Rochelle, et ne peut se faire recevoir dans aucun corps de l’armée catholique, XXXV, 83. (Mém. de Bouillon.) — Est frappé d’une balle par un de ses cousins ; meurtre dont il s’étoit rendu coupable, XLV, 187. Est attaqué par le seigneur de Mouy dont il a tué le père, est blessé, et meurt la nuit suivante, 257. (L’Estoile.)

Maurice (le prince), chargé par l’empereur Charles-Quint de faire le siége de Magdebourg, traite secrètement avec les assiégés, et tourne ses armes contre ce prince, XXIV, 55. S’empare d’Ausbourg et autres villes ; y établit le luthéranisme ; marche sur Inspruck, d’où l’Empereur s’échappe pendant la nuit, 57. Traite ensuite avec ce prince et se joue du roi de France, 60. Bat le marquis de Brandebourg, est blessé, et meurt après sa victoire, 109. (Mém. de Tavannes.) — Envoie une ambassade au roi Henri II, au nom des princes d’Allemagne, pour lui demander du secours contre l’Empereur, XXVI, 350. Écrit au Roi pour se plaindre de la prise de Metz, et lui annonce qu’il s’est accommodé avec l’Empereur, 436. (Mém. de Vieilleville.) — Est blessé dans un combat qu’il livre près de Cologne au marquis de Brandebourg, et meurt de ses blessures, XXXI, 185. (Rabutin.)

Maurice (le comte), capitaine général des États de Hollande, s’empare sur l’archiduc d’Autriche des places de Crevecœur et de S.-André, XXXVI, 449. Bat les troupes de l’archiduc entre Nieuport et Ostende ; veut assiéger Nieuport ; est forcé de retourner en Hollande, 453. Assiége la ville de Reimberg ; emporte d’assaut une île voisine, 499. (Mém. de Pontlevoy.) — Se rend maître de Breda par surprise, XL, 13. Fait le siége de Nimègue, 143. Fait construire un fort contre cette place, 144. Force Doddedael à se rendre à discrétion ; reprend plusieurs forts et châteaux sur les Espagnols, 145. Autres détails sur la guerre entre les Espagnols et les habitans des Pays-Bas, 146. Comment le prince trompe le duc de Parme et surprend la ville de Zutphen, 235. Attaque Deventer, et s’en rend maître par composition, 237. Prend plusieurs forts dans le pays de Groningue, 238. Dresse une embuscade au duc de Parme près de Nimègue, 239. Assiége Hulst en Flandre ; reçoit la place à composition, 241. Fait le siége de Nimègue, qu’il attaque par terre et par eau ; la prend par composition, 402. Assiste à la pompe funèbre militaire du colonel Martin Scenck, 403. Tente sur Maestricht une entreprise qui ne réussit point, XLI, 82. Investit Steenwich, 85. Est légèrement blessé pendant le siége ; force la garnison à capituler, 90. Fait investir la ville et le fort de Covoerden ; prend la ville d’Otmarson par composition, 92. Force Covoerden à capituler, 94. Poursuit les Espagnols vers le Rhin ; se retire en Hollande, 95. Fait le siége de Gertruydenberg, 411. La reçoit à composition, 415. Assiége Groningue et lui accorde une capitulation, XLII, 248. Ravitaille Covoerden, dont il fait lever le siége, 249. Détails sur le siége de Groningue, 250. Conditions de la capitulation, 254. Le prince est magnifiquement reçu à Amsterdam, 256. Défait avec sa cavalerie l’armée espagnole, commandée par le comte de Varax,