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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/416

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savetier qu’on lui a amené prisonnier pour avoir maudit ceux qui empêchent la paix et veulent la guerre ; empêche l’amiral et le chevalier breton de se battre, 394. Tombe de cheval en courant la bague aux Tuileries ; ses paroles en se relevant, 397. Met le holà entre le duc d’Aumale et un gentilhomme du parti du Roi, 398. Menace de faire pendre sans forme de procès ceux qui parleront de faire des barricades, 401. Renvoie aux États les ecclésiastiques et les Seize qui viennent protester contre la paix, 402. Permet à un nommé Lenormand de poursuivre Moniot, qui l’a calomnié auprès de lui, 403. Accorde à mad. de Nemours qu’il ne fera pas poursuivre le petit Brion, apothicaire, qui a médit de lui et parlé à l’avantage du Roi et pour la paix, 404. Revient à Paris ; assiste à l’assemblée des États ; remercie en leur nom l’archevêque de Lyon et les autres députés aux conférences de Suresne, 408. Cherche à adoucir auprès du duc de Feria l’amertume du discours de l’évêque de Senlis contre la proposition que ce duc a faite de nommer l’infante d’Espagne reine de France, 415. Sa réponse au prédicateur Boucher qui vient lui demander un roi, et que ce soit le duc de Guise, 421. Sa réponse au duc d’Aumale qui lui conseille de mener à la guerre les prédicateurs et les Seize, 426. Est mécontent des bruits de Paris qui donnent la couronne à son frère le duc de Nemours ou à son neveu le duc de Guise, 435. Envoie prier les États de surseoir leur assemblée, leur promettant de les rendre contens dans deux jours, 436. Les princes de la maison de Lorraine témoignent un grand désir d’être choisis pour époux de l’Infante ; le duc de Mayenne la recherche pour son second fils, 453. Fait prier la cour du parlement de modérer son arrêt pour le maintien de la loi salique, 456. Sa réponse à la proposition que fait le duc de Feria de marier l’Infante avec le duc de Guise en l’élisant roi, 457. Renvoie dans sa maison un tapissier qu’on lui amène comme ayant mal parlé de lui et menacé de le tuer, 458. Troublé de l’élection de son neveu le duc de Guise, que les Espagnols, les prédicateurs et les Seize favorisent, il tient conseil chez lui depuis quatre heures du soir jusqu’à minuit, 459. Fait part aux États de la proposition à lui faite par les Espagnols touchant le mariage de l’Infante avec le duc de Guise ; demande qu’on suspende l’élection du roi, 489. Est d’avis qu’on travaille à une trève, 490. Fait défenses rigoureuses d’aller à S.-Denis à l’abjuration du Roi, 492. Se plaint au légat des prédicateurs, et le prie de les faire taire, sinon qu’il en fera jeter quelques-uns à la rivière, 500. Empêche de plaider l’appel de l’abbé de Ste.-Geneviève, 502. Fait entre les mains du cardinal légat un serment avec les Espagnols ; conditions de ce serment, 508. Se rend aux États, auxquels il déclare qu’il est à propos de licencier quelques députés pour retourner dans les provinces, les États demeurant néanmoins toujours assemblés, 509. Propose un nouveau serment d’union, 510. Dit au président d’Hacqueville et à ceux de sa compagnie qu’il a renvoyé à regret et comme par force le colonel d’Aubray, et les assure qu’il n’a jamais pensé à chasser personne du parlement, 554. Rejette le conseil que lui donne le légat de nommer douze juges pour chasser les hérétiques et rendre bonne et prompte justice au peuple, 573. Envoie faire des plaintes au président Le Maistre sur les propos qu’il prétend avoir été tenus contre lui, 576. Se rend au parlement pour lui demander justice de faux rapports qu’on lui a faits, 578. Répond au président d’Hacqueville que le départ de M. de Belin est une affaire décidée, qu’il ne peut recevoir la trève aux conditions que le roi de Navarre lui a fait offrir ; fait la même réponse au président Le Maistre, 579. Assure le prevôt des